SAINT-MICHEL D'ALAJOU




SAINT -MICHEL D'ALAJOU

Dolmens : les Peyrières , mas de Rouquet…   

Menhirs : Pas de Pertus, la Prade…  

Grottes et avens… 

Habitats pré et protohistoriques… 

Sites gallo-romains…

Ecclesiam… in honorem S. Gensii in villa quam dicunt Furnis , en 988 (cartulaire de la ville 

de Lodève). 

Une chapelle Saint-Michel est mentionnée en 1123. Elle portait le nom de Saint-Michel d’Alajou en 1625.

Château du Puech d’Aubagne, en grande partie ruiné. XIIème siècle. 

Elevage de brebis…

Nombreuses lavagnes (ou lavognes)… 


Situé à 860 m d’altitude, Saint-Michel-d’Alajou, est le village le plus élevé du sud-Larzac.


La rue principale, joliment fleurie en été.

L’église nouvelle (fin XIXème siècle) d’inspiration néo romane et la mairie, côte à côte.


Une ruelle conduisant vers l’église Saint-Michel.


Une maison typiquement caussenarde avec sa terrasse couverte.


L’église Saint-Michel bâtie dans la partie haute du village à l’aplomb du château,
date du XVème siècle, mais ses origines sont plus anciennes.

Le monument aux Morts de Saint-Michel-d’Alajou, fleuri et bien entretenu.

Ruines de l’ancien château (XIIème/XIIIème siècle), construit au faîte du puech d’Aubagne, 
qui domine le village : il fut assiégé par les hommes de Philippe-le-Bel au XIVème siècle.

Autre vue du château.

On est littéralement subjugués par la vue à 360° qui se développe depuis le château.
Une table d’orientation permet de se repérer dans cet espace immense.

Une vue sur l’église du XIXème siècle depuis les ruines du château.

Les Cévennes à l’horizon nord-est avec la montagne du Lingas au centre (1450m)
et le Pic de Saint-Guiral (1365m), à gauche.

A l’est, par temps clair, on peut apercevoir le Mont Ventoux, le géant de Provence (1909m),
entre le pic d’Anjeau (860m), à gauche, et le Roc Blanc (à droite)
la partie sommitale de la Seranne (942m).

Le village s’étale au pied du promontoire sur lequel le château est construit.

La belle lavagne (ou lavogne) sur la route de Soulagets, à la particularité d’être bâtie.

Un bien joli calvaire sculpté, parmi les buis, à proximité de la grande lavogne.
Il existe encore des bergères et des bergers, et leurs brebis, à Saint-Michel.

Une sortie-découverte organisée par le Groupe Archéologique Lodévois, en avril 2016.

Iris nains de Saint-Genès.


Une autre lavogne alimentée à partir d’une gloriette en pierres.

Le puits de Conques, près d’une lavogne. Beaucoup d’eau dans le sous-sol de Saint-Michel.

La lavogne du Larquet, originale.

Capitelle (ou cabane), incluse dans le mur d’un enclos de la devèse.

Eglise Saint-Genès-des-Fours (ou Saint-Geniès), érigée en bordure de la plaine du même nom.

L’église Saint-Genès (1881) a succédé à une chapelle romane qui fut le siège de la paroisse
avant qu’elle ne soit transférée à l’église Saint-Michel dans le village. Elle a été restaurée en 2008.
Elle pourrait avoir été bâtie sur un site « païen » gallo-romain.
(païen vient de paysan d’un village, d’un pagus, habitant du pays. Avant le christianisme…)

Dans l’église Saint-Genès, du nom d’un martyr arlésien du IIIème siècle après J.C.,
on peut voir une colonne provenant de l’église romane primitive.

Un chapiteau, présentant un personnage (orant ?) entre deux anges,
datant de l’époque romane, est visible dans l’église Saint-Genès. (orant, du latin orare, priant).

Ferme des Gamboules, aux confins de la plaine de Saint-Genès. Elevage de Brebis.

Ruines d’une maison médiévale, dans la plaine.

Saint-Michel vu de la route de la Prade au sud. Le château domine le village, comme partout.

Massifs de buis taillés le long de la route de la Prade (ferme) à Saint-Michel-d’Alajou.

Un autre calvaire à l’entrée sud du village, près de la mairie.

Ruines d’un ancien village, non loin de Saint-Michel-d’Alajou.

Voie antique entre la Vernède et les Gamboules. Cette route est bornée par des menhirs et,
en direction du nord, jusqu’à la Foux (résurgence de la rivière Vis). 

Le dolmen ruiné des Peyrières, entre la devèse et la plaine de Saint Genès.

Menhir de Labagne-Fournès, au nord de la Vernède.
Il indiquait le chemin de la Foux.

Autre menhir près de la voie antique, indiquant le chemin de l’eau.

Le village avec son église, son château perché et sa grande mare circulaire entourée par un mur (en bas de la photo).


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