SAINT PRIVAT - LES SALCES




SAINT PRIVAT - LES SALCES

De nombreux dolmens sont présents sur la commune.

(Dolmen du Belvédère, près du Prieuré de Grandmont, du Bois de Marou, du Pioch Redon…). 

Abris sous-roches. 

Villas gallo-romaines. 

Mines de plomb argentifère. 

De nombreuses carrières de grès pour la production de meules en grès, de moellons, de stèles discoïdales. 

Une église Notre-Dame-des-Salces est mentionnée au XIème siècle.

Le Prieuré Saint-Michel-de-Grandmont est fondé au XIIème siècle.

Le cartulaire de Lodève cite les paroisses de Sainte-Marie-des-Salces et de Saint-Privat, en 1253. 

Le Rocher des Fées.

Le château de Saint-Privat : tour du XIIème siècle. Maisons romanes…

 


Vue du bourg de Saint-Privat depuis la route de Saint-Jean-de-la-Blaquière.

Tronc d’un vieux châtaignier remarquable et village de Saint-Privat à l’arrière-plan.

Eglise du bourg de Saint-Privat moderne d’inspiration néo romane.

Fragment de muraille (anciens remparts) contre le mur sud de l’église de Saint-Privat.

La rue Droite aux remarquables maisons en pierre de grès.

Base de la tour du XIIe siècle à droite et le calvaire à gauche.


La tour avec une fenêtre cintrée typiquement romane sur la façade sud des meurtrières,

vestiges de l’ouvrage défensif dans la partie sommitale de la face est.


Dans la rue Droite, bel exemple des maisons de Saint-Privat en pierres de grès bâties

sur le rocher de grès avec lequel elles font corps.


Porte d’entrée est du bourg de Saint-Privat.

Une fontaine datée de 1905, avec RF pour République Française.

La rue Basse aux belles maisons qui invitent à une promenade de découverte du patrimoine bâti.

Une autre vue de la Tour qui domine le bourg de Saint-Privat.

Fontaine de la placette du quartier bas.

Belle maison aux fenêtres de style Renaissance près de la porte est et dominant le ruisseau du Maro.

Une maison joliment restaurée bâtie sur le roc de grès.

Belle maison de caractère où subsistent en façade

des éléments défensifs.


Calvaire près du ruisseau du Maro élevé sur une meule en grès en provenance de la carrière ouverte

dans le dernier tiers du XIXe siècle. Les Privatois expédiait leurs meules jusqu’en Italie,

où elles étaient prisés des rémouleurs.


Petit aqueduc et meules, dans la partie basse de Saint-Privat, près du pont sur le Maro (ruisseau).

Point de vue depuis une ruelle de Saint-Privat et son environnement verdoyant.

Au loin dans l’échancrure, le mont Liausson qui domine le lac du Salagou.


Vue générale du hameau des Salces érigé sur un plan à la différence de Saint-Privat qui étage ses maisons sur un éperon rocheux.

Belles maisons de caractère dans la rue face à la mairie-école aux Salces.

La fontaine circulaire de 1890 sur la placette des Salces.
Calvaire dans la rue conduisant à l'église des Salces.

Porche d'entrée de l'église romane Notre-Dame-des-Salces
classée Monument Historique en 1937 et 1962 pour la nef.

Chapiteau roman de l’église des Salces présentant un orant qui lève le bras droit et plaque le bras gauche sur sa poitrine.
Ce décor situe la nef entre 1130 et 1140 selon l’historien gardois Pierre Clément (en 1989) spécialiste de l’art roman.

L’église Notre-Dame-des-Salces a été modifiée au XIVe siècle par l’arasement de l’abside circulaire 
remplacée par un vaste sanctuaire. Ici, vue d’une fenêtre romane à colonnettes.

Chevet et clocher de l’église ND des Salces donnant dans le cimetière.

Emouvant monument aux morts de Saint-Privat-Les Salces qui énumère les Privatois tombés
au champ d’honneur mais également la date et le lieu de leur sacrifice.

Ancienne carrière de production de meules rotatives en grès local. Saint-Privat.

Chemin magnifiquement caladé. Saint-Privat.

Contre-empreinte de reptile, découverte dans une carrière de meules. Saint-Privat.

Fontaine du hameau de la Rouquette au bord de la route de Saint-Jean-de-la-Blaquière aux Salces.

Rue de la Rouquette.

Ancien four à pain dans le hameau de la Rouquette.

Rue caladée et voûtée de la Rouquette.

Un des trois dolmens de pioch Redon, aux Salces.
Photo années 1950.

Stèles discoïdales en grès.

Prieuré Saint-Michel-de-Grandmont : Aile orientale des bâtiments conventuels, dont le 2ème niveau a été reconstruit au XVIème siècle.
L’abside de l’église et les sarcophages du cimetière médiéval. Eglise à nef unique en berceau brisé, XIIème siècle.
Portail avec colonnettes. Inscription obituaire, XIIème siècle. Campanile octogonale, XIIème siècle. Cloître, XIIème siècle… 

La nef, dépourvue de baies, est dépouillée dans le plus pur style épuré des Cisterciens.

Le prieuré de Grandmont est le seul exemple de l’ordre des Cisterciens fondé par les disciples d’Etienne de Muret,
natif de Thiers, qui se fit moine-ermite dans les monts du limousin près de Limoges vers 1076,
à conserver son cloître.

Le prieuré, de style cistercien, a été élevé à la fin du XIIème siècle.
Ici, le coté occidental avec ses magnifiques baies romanes géminées.

Plan d’eau, dit « le lac ». Emplacement de l’ancienne carrière de pierres de grès qui ont été utilisées pour la construction du prieuré.






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